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La PAIX : la vision plus globale du service public, partie 3/10

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La police est aussi humaine. Ils ont des familles, souvenez-vous, ils ont des enfants, ils ont une femme, ils ont des parents. Ils savent ce que c’est d’être un humain. (Oui, Maître.) Donc, si un policier a fait quelque chose de mal, c’est juste individuel. (Oui, Maître.) Des cas isolés.

( Maître, il y a aussi eu beaucoup de gens qui manifestaient aux États-Unis et aussi dans le monde. ) Oui. ( Des troubles civils d’une façon ou d’une autre. Maître, auriez-Vous des conseils à donner à la police et aux manifestants en ce moment ? )

Oui. J’ai également réfléchi à cela. C’est bien que la question soit posée car je ressens vraiment de la peine. J’ai de la peine pour les victimes, les dénommées victimes de la police, ainsi que pour la police elle-même. (Oui, Maître.) Mais je dois vous dire franchement et avant tout que nous avons besoin de la police. (Oui.) Cesser de financer la police ou démolir les forces de police n’est pas la solution. (Oui, Maître.) Pas lorsque nos sociétés partout dans le monde sont encore dans l’état où nous sommes actuellement. (Oui Maître.) Ils ont dit qu’une fois, il y avait quelque chose comme moins de police et le crime avait augmenté, je ne me souviens plus, peut-être à Chicago ou autre. (Oui Maître.) Ce serait le cas. La présence de la police – parfois ils ne font qu’être présent, ils ne font rien – mais la présence de la police fait les gens y réfléchir à deux fois, s’ils voulaient faire quelque chose de mal. (Oui Maître.) Cela leur rappellera la prison, la peine. Cela signifie être loin de la famille et des amis et adieu la liberté. (Oui Maître.) Au moins pour un certain temps, voire pour toujours, cela dépend de la nature du crime. Donc la présence de la police est nécessaire dans notre société en ce moment. (Oui, Maître.) C’est le premier point.

Deuxièmement, la police est le bon atout, de bons, bon atouts pour tout pays. Ils ont été formés pour faire beaucoup de choses – même sage-femme, ils peuvent même mettre au monde un bébé. Je veux dire, s’ils le doivent, en cas d’urgence. Et ils peuvent réanimer et aider les personnes inconscientes, ou même les bébés ou les enfants, ou même aider de bien des façons que j’oublie sans doute de mentionner. Je ne suis pas la police, je pense juste de cette façon. Je pense juste à ce que je sais. (Oui Maître.) La présence de la police est nécessaire tant que notre société ne se comporte pas bien en général. (Oui Maître.) Et ça peut aider à réduire la criminalité. Cela peut aider à rétablir l’ordre dans certains quartiers. Et cela aide aussi à sauver des vies. Nous devrions également être très reconnaissants à la police, (Oui Maître.) Partout.

( Vous avez fait du bon travail, je suis si fier de tout le monde. Vous êtes mes héros. Je veux dire : N’arrêtez pas, s’il vous plaît, n’abandonnez pas. Beaucoup s’en fichent ou n’apprécient pas les sacrifices que vous faites chaque jour. Mais moi si. Beaucoup sont à mes côtés aujourd’hui pour vous faire savoir que vous comptez. Officiers de toute l’Amérique, vous comptez pour moi, s’il vous plaît, continuez à prendre soin de nous. )

J’ai même écrit un poème pour la police. (Oh ouah !) Vous ne savez pas ? (Non Maître.) Vous saviez. Certains d’entre vous ne le savent pas. Vous pouvez le remettre pour que tout le monde le voie. (D’accord, Maître.) Si vous pouvez trouver le poème. Je ne l’ai pas avec moi. Je suis sûre que vous l’avez quelque part.

Poème du Maître Suprême Ching Hai : « Le héros discret » (À tous les bons policiers)

Dans les bourrasques hivernales glacées,

Vous vous tenez telle une colossale statue grecque

La tempête de l’océan semble se détourner de vous

Impressionnée par cet indomptable courage !

Dans la brume de la chaleur accablante d’un midi d’été

Votre sourire digne diffuse des plaintes

Le haut soleil se dérobe face à votre endurance.

Dans le chaos des heures de pointe

Vos bras sûrs restaurent l’ordre

Sans jamais attendre un remerciement.

Quand j’oublie de ralentir dans les rues encombrées

Vous me rappelez la vitesse de sécurité.

Quand je me suis enfermée dehors à minuit

Vous m’ouvrez avec un passe-partout et un sourire !

Quand je suis perdue sur l’autoroute stressante

Vous me conduisez au bon endroit.

Vous parlez même ma langue

Enfin ! Vous avez essayé…

Dur avec les méchants

Doux avec les dociles.

Bien qu’ayant plutôt à faire

Aux côtés négatifs du caractère humain

Étonnamment, votre cœur réserve encore plein de confiance.

De dix-mille façons

Vous témoignez votre véritable bonté !

Je me souviens,

Quand on s’est rencontrés pour la première fois

Vous m’avez portée sur le bas-côté

(Ma seconde tentative infructueuse

Sur une moto)

Vous hurliez aux auxiliaires médicaux :

« Faites quelque chose, faites quelque chose !

Va-t-elle s’en sortir ?

Va-t-elle s’en sortir ? »

Votre visage était

Celui d’un père inquiet

Votre aura était

Celle d’un ange

Ce visage, je m’en souviendrai toujours

Pour le reste de ma vie.

Oh oui, je vous connais bien

Dans une ville étrangère

Dans mon village natal

Dans une allée effrayante si étroite et sombre

Sur une plage déserte à l’aube…

Vous êtes presque toujours seul

Ou juste avec Dieu !

Vous êtes au quotidien le soldat le plus courageux

Constamment en guerre

Contre la violence et l’injustice

Sauvant le faible

Protégeant l’innocent.

Vous risquez votre vie

Pour préserver la sécurité et la paix

De vos concitoyens

Et de ceux que vous ne connaissez même pas :

Comme moi hé ! « Juste une touriste… »

Mais je suis aussi le public

Qui est inspiré pour vous écrire ce poème.

Car c’est Noël

Et voici notre modeste cadeau :

Une réaction enrubannée de quelque chose de positif,

Emballée avec Amour et scellée avec le

Respect qui vous est dû.

De sorte qu’un jour, lorsque vous ressentirez que vous en avez assez

D’être confronté à l’obscurité !

Vous puissiez vous rappeler cette lettre

Sachant que le public vous aime !

C’est juste que la société continue d’engendrer des imperfections, si inexplicables !

Mais nous essayons tous différentes manières de nous amender…

À présent c’est la saison des Fêtes

Et je ne sais pas trop quoi envoyer !

(Vous savez… à un policier !)

Donc je vous souhaite simplement et sincèrement un agréable Noël

Comme l’année touche à sa fin :

Puissions-nous tous entamer une vie heureuse

Puissent nos jours recéler des événements plaisants.

Espérons-le, ils disparaîtront tous, « les méchants »

Et même alors

Il est toujours agréable de voir un policier

Marchant, grand, beau et fier

Dans l’uniforme qui représente la protection.

Fort mais juste, humble mais intrépide

Vous êtes le Héros Discret

Qui « aime ce qu’on fait » (*)

Et les gens vous aiment ♥

♥ CDLA ♥

~~~ ♥ ~~~

(*) Citation d’un policier rencontré dans une rue à Monaco.

Alors la police, elle est aussi humaine. (Oui.) Ils commettent aussi des erreurs, et des fautes. Mais ils ont été formés pour maîtriser aussi. Quand j’étais dans d’autres pays, j’étais gentille avec la police. Par exemple, une fois, ils m’ont arrêtée, la voiture, pour vérifier mes papiers. (Oui Maître.) Et j’ai sorti tous les papiers et les lui ai donnés. C’était le soir, et le vent était très fort. C’était en Europe. Et le papier voletait, et j’ai utilisé ma main pour tenir le coin pour lui. Et j’ai aussi utilisé ma lampe de poche de l’autre main pour l’éclairer pour qu’il puisse lire. (Oui.) Et je lui ai demandé : « Pouvez-vous le lire ? » Et il s’est radouci immédiatement. Avant, il était comme un policier : « Vos papiers ? Votre permis de conduire ? D’où êtes-Vous ? » Mais après cela, il était très doux. Il a dit : « Merci. » Vous voyez ? La police est également humaine. Ils ont de la famille, rappelez-vous, ils ont des enfants, ils ont une femme, ils ont des parents. Ils savent ce que c’est que d’être un humain. Donc, si un policier a fait quelque chose de mal, c’est juste individuel. (Oui Maître.) Des cas uniques. Donc, s’il a tort, alors peut-être juste lui faire la morale, à cette personne, ou même le radier de la police ou même l’emprisonner. Mais juste cette personne. Ne pas généraliser à toute la police, car il y a beaucoup de bons policiers. (Oui.) ( Oui Maître. ) Il y a de bons policiers. (Oui Maître.) Beaucoup, si vous comparez à ces incidents et à l’ensemble des policiers, vous savez que la majorité des policiers font du bon travail. (Oui Maître.) Les gens leur font confiance. Donc, il y a des protestations, je l’ai vu aux informations. Parfois, je dois scanner les infos pour vous. Et j’ai vu des manifestations contre la police, mais certaines personnes viennent aussi pour effacer cela. (Oui.) Certaines personnes disent : « Ce policier a tué cette personne, mais il a aidé ma famille. » Quelque chose comme ça. Parce que la police aide aussi. Supposons qu’il n’y ait jamais de police sur l’autoroute, que tout le monde oublie parfois et conduise si vite, si follement quand il est drogué ou alcoolisé, alors imaginez combien d’accidents se produiraient. (Oui Maître.) Même la police se gare simplement sur le bord de l’autoroute, sans rien faire, mais les gens le voient et cela leur rappelle de ralentir, de conduire lentement. Et ainsi, on ne sait jamais, cela aurait pu éviter de nombreux accidents. Et de nombreuses vies ont été sauvées. Sans parler de la police qui est venue secourir dans certains accidents de voiture et aider les gens et restaurer la vie des gens. Ou elle les amène à l’hôpital, appelle le service d’urgence, etc., etc. (Oui Maître.) Les gens devraient savoir que dans ce monde, il n’y a pas de perfection. Donc, on doit prendre la majorité. Si la majorité de ce qui est bien l’emporte sur la minorité du négatif, nous devons l’accepter. Tout comme dans votre maison, si un coin de la maison est cassé, vous n’avez pas besoin de démolir toute la maison. Vous réparez simplement ce coin-là. (C’est vrai. Oui.) Donc, je pense que les gens devraient réfléchir à deux fois et laisser la police faire son travail. Il était au bon endroit au bon moment.

La police ne harcèle pas toujours les Noirs. J’ai vu qu’ils appliquaient également une force similaire ou une action similaire sur les Blancs, sur les femmes également. Les enfants aussi. Cela dépend de la situation. (Oui Maître.) Ils ne tirent pas seulement, je veux dire sur le moment, seulement sur les Noirs. De plus, ils ont fait de même avec les Blancs. Vous avez vu ça, n’est-ce pas ? (Oui, Maître.) Donc, il n’est pas juste de dire que la police ne traite pas bien seulement les Noirs. Et même s’ils le font, s’il vous plaît, les gens doivent réfléchir à l’intérieur si vous vous comportez bien dans la société, si vous faites votre devoir de citoyen ou non. Avez-vous respecté la loi ? Ou quelque chose. Parce que parfois juste un ou deux font quelque chose de mal, alors les gens ont un préjugé contre tout le groupe. (Oui.) Pareil dans la police, ils sont également humains. Les policiers ne sont pas des saints. Désolée, j’aimerais qu’ils le soient. Mais s’ils étaient saints, je ne pense pas qu’ils pourraient faire le travail de policier. (Oui. C’est vrai, Maître.) La police est formée pour faire ce genre d’action. Et parfois, ils tirent accidentellement sur quelqu’un, noir ou blanc, ce n’est pas leur intention de tuer. Imaginez que ce soit vous.

Le travail de la police, je pense, est même plus dangereux que celui d’un soldat sur le terrain de combats parce que les soldats, ils ne s’approchent pas très près des soi-disant ennemis pour tirer. La plupart du temps, ils sont cachés dans la caserne ou autre. (Oui Maître.) Ils sont en sécurité quelque part. Dans une certaine mesure, ils sont en sécurité. Mais la police, elle doit être en face à face à quelques mètres seulement, ou même en face à face immédiat. Il doit arrêter une voiture et demander un permis de conduire et faire passer un alcootest, qu’il soit ou non en état d’ébriété au volant ou sous l’emprise de drogues. Et il est face à face. J’ai vu une info selon laquelle même le conducteur a juste appuyé sur la détente et a tiré sur le policier juste là. Avez-vous vu cette information ? (Oui Maître.) Ainsi, la police est toujours en danger. Et personne n’y pense. Ils sont dans des situations dangereuses la plupart du temps. (Oui Maître.) Donc, lorsqu’ils sont confrontés au soi-disant suspect, et si le suspect a fait quelque chose, je veux dire plus suspect, alors la police n’a pas le temps de réfléchir. (Oui.) Il pourrait penser que ce suspect voulait tirer sur son collègue, alors il doit réagir immédiatement. Cela devient entraîné, et devient comme automatique, et ils n’avaient pas le temps de réfléchir. Soit ils survivent, soit le suspect survit. (Oui Maître.) Ils ne peuvent pas penser sur-le-champ. Ils ne peuvent pas. Ils ne sont pas dans la zone de sécurité pour réfléchir. Donc, ils pourraient tirer, et ce pourrait être une erreur. Ils ne voudraient pas faire cela. Aucun policier ne voudrait tirer sur des gens au hasard. (Tout à fait, Maître.) C’est quelque chose qui a déclenché cela. (Oui Maître.) Parce qu’ils sont toujours en danger. Ils doivent se protéger et protéger leurs collègues et/ou les autres, les passants ou victimes. Ils doivent tous les protéger. (Oui.) Donc, nous devons prendre tout cela en considération et laisser une chance à la police. Parce que toutes ces choses sapent le moral et l’attitude de service de la police. Ils ont peur, ils se sentent tristes, ils se sentent abattus, ils se sentent déprimés. (Oui.) Parce que beaucoup d’entre eux ont vraiment mis leur vie en jeu pour aider les gens et ils le font sincèrement. C’est pourquoi ils ont rejoint la police, pour aider les bons et s’occuper des mauvais. (Oui Maître.) La plupart des policiers ont cet idéal mental avant de rejoindre les forces. Autrement, ils feraient autre chose. Et être policier, c’est un entraînement très dur. Vous le savez ? (Oui.) C’est autant que l’armée. Et ils n’ont pas autant de protection que les militaires. Je ne suis pas policière ; je n’ai pas de policier dans ma famille pour le moment, rien. Je parle équitablement et justement. Et j’espère que quiconque s’est opposé à la police, voudra bien me pardonner.

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